Voilà encore une des raisons pour laquelle le « j'ai rien à cacher » ne fonctionne pas. Le monsieur n'avait rien à cacher, il n'est pas coupable mais comme il est « traqué » (volontairement), il en devient suspect à cause d'une mauvaise interprétation humaine.
Maintenant, imaginez que vos données soient accessibles (gratuitement ou non) à un gouvernement autoritaire ou totalitaire ou raciste ou xénophobe et imaginez les dégâts potentiels sur vos vies comme ce monsieur l'a vécu.